La question du Sahara, qu’il soit occidental ou marocain, peine à être abordée de façon neutre tant il est structurant dans la pensée internationale du Maroc ou de l’Algérie. Le simple fait de nommer cette région « Sahara occidental », « Sahara marocain » ou encore « Provinces du Sud » suffit à situer un interlocuteur dans l’un ou l’autre des camps selon qu’il soutient la marocanité du Sahara ou l’indépendance du territoire[1]. La présence ou non d’un trait, parfois en pointillé, sur une carte, suffit d’ailleurs à créer une crise diplomatique avec Rabat ou Alger. Par exemple, en avril 2024, un différend diplomatique avait mené à l’annulation d’un match de football : la raison invoquée mettait en cause un maillot de football marocain figurant une carte incluant le Sahara occidental[2]. Le sujet peut paraître trivial aux yeux d’un commentateur extérieur, mais il dénote l’extrême sensibilité de la question pour les deux pays.

Par ailleurs, pour les deux rivaux, la position diplomatique de neutralité est tout simplement intenable. Par exemple, aux yeux du Maroc, la neutralité est synonyme de négation des droits historiques du pays sur ce territoire. Le roi Mohammed VI[3] qualifiait ainsi la question du Sahara de « prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement international ».
Le Sahara : un conflit
1956 – 1975 : une question de frontière à l’heure de la décolonisation
Le roi Hassan II déclarait en 1985 : « Le drame du Maroc, c’est de n’avoir pas eu affaire à un seul colonisateur, mais à deux : les Espagnols et les Français. »[4]. La question du Sahara est, en effet, intimement liée à l’histoire de la décolonisation de la région et au règlement des questions frontalières qui s’en sont suivies et qui se sont réglées en deux temps avec le retrait des deux colonisateurs européens.
L’indépendance du Maroc (alors protectorat français) en 1956 puis celle de l’Algérie (alors colonie française incluant des départements) en 1962 initie un retour à la souveraineté pour ces deux pays, alors notamment incarnée par le contrôle des frontières et la définition des territoires. La présence française avait mis ces questions de côté en traçant une ligne (relativement floue[5]) entre ses deux possessions : de la mer Méditerranée au Sahara espagnol en passant par Figuig et par la hamada du Guir[6].

C’est ainsi que, dès son indépendance acquise, le Maroc connaît un développement d’idées irrédentistes qui appuient une volonté de retour aux frontières du « Grand Maroc » s’étendant jusqu’à la Mauritanie avec une partie du Mali et de l’Algérie. Cette revendication se heurte rapidement au voisin algérien et c’est en raison de ce flou frontalier que se déclenche la Guerre des Sables en septembre 1963[7]. Ce conflit territorial se termine sur une impasse militaire et vient fixer la frontière entre les deux pays : cette dernière reste pratiquement inchangée[8].
La frontière orientale marocaine étant désormais définie, il reste alors à tracer les frontières méridionales. C’est à ce moment précis qu’apparaît la question du Sahara occidental. Ce territoire est originellement une colonie de l’Espagne qui ne se retire qu’en 1976. Du temps du « Sahara Espagnol », le territoire était considéré comme un territoire non-autonome et divers groupes de libération avaient vu le jour, notamment le Front Populaire de Libération de la Seguia el-Hamra et du Rio de Oro (abrégé en Front Polisario)[9]. C’est donc après le retrait espagnol que se pose réellement la question de la souveraineté sur ce territoire : appartient-il au Maroc ou doit-il être indépendant ? La Cour Internationale de Justice (sous l’égide des Nations unies) rend un avis, le 16 octobre 1975, loin de trancher le différend : si le Sahara n’était pas terra nullius (c’est à dire que la terre n’était pas vierge avant la colonisation espagnole) et possédait des liens d’allégeance vis à vis du Maroc, un lien de souveraineté territorial n’est pas constaté[10]. Dès lors, la CIJ entend faire appliquer le principe d’autodétermination grâce à un référendum.
1975 – 1991 : la guerre du Sahara occidental
Dès la publication de cette décision, Hassan II[11] annonce la Marche verte. Cette dernière se concrétise le 6 novembre lorsque 350 000 volontaires civils, suivis d’environ 30 000 militaires, franchissent la frontière[12]. Cette reconquête pacifique, même si uniquement symbolique, permet au Maroc de fortifier sa légitimité. L’Espagne quitte définitivement la région en 1976. C’est alors que le Front Polisario proclame unilatéralement la République arabe sahraouie démocratique (RASD) sur le territoire de l’ancien Sahara espagnol. Créé en 1973, le mouvement indépendantiste avait déjà affronté les forces marocaines depuis octobre 1975[13]. Les deux entités revendiquant la souveraineté sur le territoire, un conflit fait rapidement rage.

Les premiers affrontements voient le Polisario dominer le terrain grâce à un important appui de la part de la Libye et de l’Algérie[14]. Le mouvement parvient alors à imposer une guerre de harcèlement contre le Maroc au nord et la Mauritanie (qui se retire en 1978) au sud[15]. Face à ces premiers revers, le Maroc change de stratégie et érige le « Mur des sables » pour bloquer les mouvements des insurgés au fur et à mesure de sa reconquête. La ligne de front se stabilise finalement en 1987 tandis que le Maroc entreprend déjà d’intégrer les provinces récupérées[16].
Les deux parties signent finalement un accord de cessez-le-feu (mais pas de paix) en 1991. Ce dernier doit servir de prélude à un référendum d’autodétermination mais ce dernier ne s’est encore jamais tenu.
En effet, l’organisation de ce dernier se heurte à un différend relatif à la composition du corps électoral[17]. La polémique réside dans la façon de définir qui aurait le droit de composer ce dernier. D’un côté, on propose de limiter le suffrage aux tribus présentes avant 1974 dans la région dominée par l’Espagne : une telle définition inclurait une majorité de personnes ayant combattu pour l’indépendance, favorisant de fait le Front Polisario. À l’inverse, Rabat est davantage favorable à un suffrage plus inclusif pour intégrer des tribus frontalières davantage favorable à la marocanité du Sahara[18] ou encore des Sahraouis ayant émigré vers le Nord du pays. En résumé, si la guerre ne porte plus sur des enjeux de territoire, elle se joue sur des enjeux de définition, la politologue Khadija Mohsen-Finan[19] résumait ainsi : « on a le sentiment que le combat s’est déplacé, qu’il ne se situe plus sur le terrain mais sur la composition des listes électorales »[20].
1991 à nos jours : enjeux et acteurs contemporains
La région est d’abord centrale pour les ressources que l’on y trouve. Le Sahara occidental accueille ainsi d’importants gisements de phosphates et garantit à quiconque le contrôle une façade maritime importante, accompagnée de sa Zone Économique Exclusive (ZEE)[21] et de ressources halieutiques conséquentes[22]. Le contrôle, ou le non-contrôle, de cette région pourrait garantir aux belligérants des avantages stratégiques importants. En effet, le littoral se retrouve au cœur d’un projet marocain de construction d’un gazoduc reliant l’Europe au Nigéria en longeant la côte atlantique. Ledit projet entre en rivalité directe avec un plan algérien similaire (passant cette fois-ci par le Sahel)[23]. La question du Sahara s’inscrit donc dans une rivalité algéro-marocaine plus globale.

La RASD est proclamée unilatéralement par le Front Polisario au lendemain du retrait espagnol de la région le 27 février 1976[24]. Cette déclaration a alors lieu tandis que le territoire est intégralement contrôlé par le Maroc et la Mauritanie et, déjà, Rabat affirmait qu’une telle déclaration ne pouvait avoir été faite que depuis l’étranger[25]. Lamine Lamine, représentant du Front, déclarait en retour : « Vous savez, l’existence marocaine, c’est une existence dans des postes [de contrôle]. Alors le reste de la région, c’est toujours sous le contrôle du Front [Polisario]. Nous sommes partout, nous sommes même à l’intérieur du Maroc »[26]. Les deux partis s’engagent alors dans un conflit jusqu’en 1991. Depuis cette date, la RASD (alors reconnue par 70 pays) ne contrôle plus qu’une petite partie du Sahara et concentre ses institutions au sein du camp de Tindouf en Algérie.
Durant les années 1980, le mouvement s’institutionnalise et entend passer d’un statut insurrectionnel à un statut étatique via la création d’institutions gouvernementales : les pouvoirs exécutifs, législatif et judiciaire. Une constitution est même adoptée en 1995, puis révisée en 1999[27]. Le préambule insiste sur la résolution du Polisario de poursuivre la lutte pour achever la souveraineté de la RASD sur l’intégralité du territoire sahraoui et est fortement influencé par l’idéologie panarabe (ayant « conscience de la nécessité de construire le Grand Maghreb, de concrétiser l’unité des efforts de l’Afrique [et] l’unité de la nation arabe »[28]). L’Article 31 précise, par ailleurs, que le Front Polisario « demeure le cadre politique qui regroupe et mobilise politiquement les Sahraouis » et ce « jusqu’au parachèvement de la souveraineté nationale »[29]. Dès lors, le mouvement demeure la seule force politique active au sein de la RASD, fonctionne en parti unique (l’article 51 précise que « Le Secrétaire général du Front POLISARIO est le chef de l’État »[30]) et détient l’intégralité des sièges du Conseil National Sahraoui (assemblée législative). Cette même constitution condamne également explicitement les velléités de rattachement au Maroc au travers de son article 48 : « Il est une obligation sacrée pour chacun de […] défendre l’unité nationale et combattre toute velléité d’appartenance autre que l’appartenance au peuple »[31].
Le soutien algérien au Front Polisario date des débuts du mouvement. Ce soutien politique et logistique occasionne de nombreuses crises graves avec le Maroc, comme en 1976 lorsque des affrontements entre soldats algériens et marocains ont lieu près de la ville d’Amgala, ce que Rabat et Alger reconnaissent[32]. Narrativement, on retrouve une cohérence d’Alger dans son soutien aux peuples opprimés : elle-même une ancienne colonie, l’Algérie se pose en soutien indéfectible des peuples sahraoui et palestinien[33]. Ce soutien se manifeste, du point de vue humanitaire, par l’accueil d’un nombre important de réfugiés dispersés dans divers camps (principalement à Tindouf). À un niveau géopolitique, l’Algérie cherche davantage à empêcher le Maroc de devenir un acteur trop important en Afrique : le Sahara occidental est une région-clef pour sa diplomatie avec le Sahel[34], pour l’export de phosphate et pour la consolidation de l’économie marocaine[35].
La bataille diplomatique
Les droits de l’Homme et des peuples au cœur des rhétoriques
La bataille diplomatique qui oppose alors Rabat et Alger se déploie sur divers récits et rhétoriques pour légitimer l’un ou l’autre des projets politiques pour la région.
Le Maroc décide de faire un parallèle entre la question du Sahara et la question amazighe[36] pour se légitimer face au concurrent algérien. Ainsi, en 2024, l’intervention du Maroc à l’ONU compare la situation des Kabyles en Algérie à celle des Sahraouis au Maroc, en affirmant que cette dernière serait bien meilleure[37]. Rabat mobilise ainsi les réformes constitutionnelles de 2011 qui affirment la pluralité de l’identité marocaine et intègrent les cultures berbères (rifaines[38], chleuh, etc.). En quelque sorte, le Maroc affirme sa capacité à intégrer et respecter la culture sahraouie, de la même manière qu’il aurait intégré et respecté les cultures berbères (et sous-entend, à la même occasion, que l’Algérie en est incapable, au travers d’une diplomatie de nuisance).
On y voit des caftans marocains sur lesquels ont été brodés des motifs sahraouis. Le couturier renvoie ainsi le message que la culture sahraouie est une part intégrante de la culture marocaine.
Pourtant, le Maroc est sévèrement critiqué pour la répression qu’il exerce vis-à-vis des militants indépendantistes sahraouis. Sa gestion du dossier est incarnée par une citation de Hassan II sous-entendant que la non-reconnaissance de la marocanité du Sahara est un délit d’opinion : « Il n’y a pas de délit politique… Le seul délit politique c’est lorsque l’on prétend que le Sahara n’est pas marocain. […] à partir du moment où un Marocain me dit que le Sahara n’est pas marocain, [il va, naturellement, en prison] »[39]. En octobre 2024, malgré un gain en popularité du plan marocain d’autonomie pour la région, Rabat était pointée du doigt par l’ancienne députée européenne Ana Gomes[40] qui livrait son témoignage relatif à des emprisonnements et actes de tortures qu’elle avait observés à la capitale Laayoune au nord du territoire[41]. Déjà en 2023, un groupe de travail de l’ONU sur les détentions arbitraires appelait à la libération de plusieurs militants sahraouis détenus dans les prisons marocaines[42].
Un dossier qui s’internationalise
En parallèle de ces joutes diplomatiques prenant place à l’ONU, les deux rivaux se mobilisent dans d’autres domaines et mènent des actions concrètes lorsque d’autres États cherchent à se positionner sur le dossier sahraoui.
Le Maroc, pour commencer, met à profit sa géographie et sa proximité avec l’Espagne (et par extension avec l’espace Schengen) pour exercer des pressions migratoires. Ainsi, en 2021, alors que l’Espagne accueillait le chef indépendantiste Brahim Ghali pour raison médicale, le Maroc avait organisé l’ouverture unilatérale de la frontière de l’enclave de Ceuta et permis à des milliers de migrants d’entrer sur le territoire espagnol[43]. La crise s’était rapidement étendue alors que l’Union Européenne avait affirmé sa solidarité avec Madrid.
L’Algérie se mobilise également et fait, quant à elle, pression dans le domaine économique via l’importance de sa production gazière. Lorsque l’Espagne change sa position vis-à-vis du Sahara occidental en 2022, Alger rétorque en menaçant de rompre son contrat gazier alors qu’elle fournit 40 % du gaz naturel de Madrid[44].
Les deux pays font ainsi régulièrement usage de pressions diplomatiques et instrumentalisent des crises pour pousser leurs agendas respectifs sur la scène internationale. La force et la conviction avec laquelle Rabat et Alger se sont mobilisés ont, par ailleurs, mis à mal la position traditionnelle française de neutralité et de puissance d’équilibre tant cette dernière devenait intenable et n’occasionnait que des crises avec l’un ou l’autre. Paris a finalement tranché en apportant son soutien au plan d’autonomie marocain, s’attirant immédiatement les foudres du partenaire algérien[45] (rappel d’ambassadeur et dégradation considérable des relations qui se manifeste encore dans l’actualité récente).
Revirements contemporains : vers une résolution ?
Le plan marocain d’autonomie… qui gagne en popularité à l’international
Depuis 2007, le Maroc a modifié ses positions relatives au Sahara occidental en proposant un plan d’autonomie[46] : la région ferait partie intégrante du Royaume, mais conserverait des compétences spécifiques. Ce plan, très élargi en comparaison d’autres plans d’autonomie, prévoit ainsi plusieurs engagements[47]. Le point 5 marque le souhait de créer des institutions législatives, exécutives et même judiciaires avec des compétences exclusives[48]. Cet aspect est complété par le point 6 qui détaille les compétences de l’État central : le régalien, la défense et les relations extérieures ainsi que « les attributions constitutionnelles et religieuses de Sa Majesté le Roi ». La région autonome aurait cependant la possibilité (en concertation avec le gouvernement) de s’occuper de relations extérieures pour des coopérations économiques (point 15). Le plan prévoit également la création d’une fonction de chef de gouvernement local, investi par le roi et élu au suffrage universel direct par les différentes tribus sahraouies (point 19 et 20). Selon ce même plan, et afin de faciliter la transition, le Royaume s’est engagé à prendre des mesures pour réinsérer les Sahraouis rapatriés (point 30) et prévoit même une amnistie générale (point 31) pour certains faits. Néanmoins, pour être appliqué, un tel plan nécessiterait une importante révision de la constitution du Maroc qui, à ce jour, n’est pas taillée pour accueillir un statut d’autonomie[49].

Ce plan d’autonomie gagne rapidement en popularité à sur la scène internationale tandis que les reconnaissances de la marocanité du Sahara se multiplient. La tendance s’accélère nettement après la signature des accords d’Abraham en décembre 2020 : en plus de normaliser les relations avec Israël, le Maroc obtient la reconnaissance de sa légitimité sur le territoire par les États-Unis[50]. Depuis cette date, les reconnaissances d’autres pays s’enchaînent et on compte près d’une vingtaine d’ouvertures de consulats à Laayoune[51]. La France, quant à elle, finit par acter sa reconnaissance en 2024.
… tandis que le Polisario est en nette perte de vitesse
En parallèle de ces victoires diplomatiques marocaines, le Front Polisario est en nette perte de vitesse. Le mouvement souffre d’abord d’une image de plus en plus négative au fur et à mesure que ces attaques (très limitées par manque de moyens) sont qualifiées, par certains, de terroristes[52], comme survenue à Smara en 2023[53], à la veille d’une réunion de l’ONU. Déjà, en 2022, on relevait l’existence de liens entre combattants du Front et divers groupes terroristes du Sahel : par exemple, le fondateur de l’État Islamique au Grand Sahara (EIGS), Abou Walid Al-Sahraoui, était un ancien combattant du Polisario. S’il est en effet cohérent que des passerelles existent entre ces mouvements, la préoccupation principale des États luttant contre le terrorisme étant de restaurer l’autorité de l’État dans des zones de non-droit : face à un Polisario relevant de l’État failli, la solution marocaine apparait bien plus intéressante.
Conclusion
Approchant de ses 50 ans, le conflit pour le Sahara occidental semble en passe de se terminer. Intimement lié à la décolonisation, un récit repris de part et d’autre du Mur des sables, le conflit autrefois ouvert a fini par se geler pour se porter, finalement, sur la scène diplomatique. Crucial pour le Maroc et l’Algérie, ce conflit s’est rapidement internationalisé tant les deux parties ont mobilisé leurs outils politiques et économiques pour faire valoir leurs positions.
Il apparaît, à ce jour, que le Maroc s’inscrit dans une dynamique auto-entretenue favorable à ses intérêts à moyen et long terme : plus nombreux sont les États qui reconnaissent la marocanité du Sahara, et plus Rabat dispose d’opportunités pour développer la région et ainsi fortifier sa légitimité. À l’inverse, le Front Polisario apparaît comme une option de moins en moins fiable malgré l’indéfectible soutien d’Alger.
Cependant, la résolution définitive semble encore lointaine : l’un et l’autre des camps, sont, après un demi-siècle, entraînés dans une escalade d’engagement. Ce conflit a façonné leur histoire, leur identité, l’image qu’ils ont sur la scène internationale et qu’ils ont d’eux-mêmes. Difficile alors d’accorder des concessions tandis que l’animosité demeure à son niveau le plus élevé.
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SAUVAGE LAIGNEL Romane, « L’article à lire et à regarder pour comprendre les 50 ans de crise au Sahara occidental », dans L’INA éclaire l’actu, Bry-sur-Marne, Institut Nationale de l’audiovisuel, 2024, [en ligne] https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/sahara-occidental-maroc-polisario-algerie-territoire (dernière consultation le 14/01/2026)
TF1 Actualités, « Sahara occidental : tension entre le Maroc et l’Algérie », dans L’INA éclaire l’actu, Bry-sur-Marne, Institut Nationale de l’audiovisuel, 1976, [en ligne] https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/caa7600130001/sahara-occidental-tension-entre-le-maroc-et-l-algerie (dernière consultation le 14/01/2025)
[1] Le présent article alternera entre les différentes expressions en fonction du contexte.
[2] Le Monde avec AFP, « Maroc-Algérie : une discorde relative au maillot marocain aboutit à l’annulation d’un match de football », dans Le Monde, Paris, Société éditrice du Monde, 2024, [en ligne] https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/04/22/maroc-algerie-une-discorde-sur-le-maillot-marocain-aboutit-a-l-annulation-d-un-match-de-foot_6229189_3212.htm (dernière consultation le 02/12/2024)
[3] Mohammed VI accède au trône du Maroc en 1999 et succède à son père Hassan II.
[4] Jeune Afrique, « Hassan II : “Tindouf faisait partie du royaume” », dans Jeune Afrique, Tunis, Jeune Afrique Media Group, 2010, [en ligne] https://www.jeuneafrique.com/183821/politique/hassan-ii-tindouf-faisait-partie-du-royaume/ (dernière consultation le 02/12/2024)
[5] Ladite ligne n’a jamais eu besoin d’être officialisée par un traité et s’est finalement définie sur le temps long entre 1845 et 1935.
[6] La hamada du Guir est un plateau désertique et rocailleux situé au sud-ouest de l’Algérie
[7] AKRAM Ellyas et STORA Benjamin, « Guerre des sables », dans Les 100 portes du Maghreb,Ivry-sur-Seine, Editions de l’Atelier, 1999, 304 p., pp. 171-173, p. 171, [en ligne] https://shs.cairn.info/les-100-portes-du-maghreb–9782708234345-page-171 (dernière consultation le 02/12/2024)
[8] Que la frontière soit « fixée » ne signifie pas que la question soit résolue pour autant. Le conflit frontalier entre le Maroc et l’Algérie ressurgit souvent à l’occasion de querelles diplomatiques : le dernier exemple en date remonte à décembre 2024.
[9] MARTIN Lucile, « Le dossier du Sahara occidental », dans Les cahiers de l’Orient, n° 102, Paris, Centre d’études et de recherches sur le Proche Orient, 2011, 126 p., pp. 43-57, p. 47, [en ligne] https://shs.cairn.info/revue-les-cahiers-de-l-orient-2011-2-page-43?lang=fr (dernière consultation le 03/12/2024)
[10] COUR INTERNATIONALE DE JUSTICE, « vue de l’ensemble de l’affaire : Sahara occidental », site internet de la CIJ, [en ligne] https://www.icj-cij.org/fr/affaire/61 (dernière consultation le 03/12/2024)
[11] Hassan II est roi du Maroc de 1961 à 1999, il succède à Mohammed V.
[12] ARGAIGNON (d’) François, Sahara Occidental : vers une solution négociée ?, Paris, Mémoire de géopolitique pour le College Interarmées de Défense, 2003, 46 p., p. 19 [en ligne] https://archive.wikiwix.com/cache/display2.php/attachment.pdf?url=http%3A%2F%2Fwww.biblio.college.interarmees.defense.gouv.fr%2FGEIDEFile%2FMEArgaignon.PDF%3FArchive%3D191157991933%26File%3DMEArgaignon_PDF (dernière consultation le 03/12/2024)
[13] MARTIN Lucile, op. cit., p. 47
[14] Ibid., p. 48
[15] Ibid.
[16] Ibid.
[17] ARGAIGNON (d’) François, op. cit., p. 27
[18] Ibid.
[19] Khadija Mohsen-Finan est une politologue spécialiste du Maghreb et des questions méditerranéennes.
[20] Cité par François d’Argaignon. Ibid.
[21] Une ZEE est une zone maritime de 200 miles nautiques (370 km) à partir des côtes d’un pays lui garantissant l’exclusivité de l’exploitation des ressources présentes (pêche, hydrocarbures etc.)
[22] BONIFACE Pascal, « Le Sahara occidental | Expliquez-moi », Youtube, 2021, 8 minutes, à 00min21sec, [en ligne] https://www.youtube.com/watch?v=3ejLqzJflcs (dernière consultation le 06/12/2024)
[23] BOBIN Frédéric, « Entre l’Algérie et le Maroc, une “guerre des gazoducs” sur fond d’illusions », dans Le Monde, Paris, Société éditrice du Monde, 2024, [en ligne] https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/10/26/entre-l-algerie-et-le-maroc-une-guerre-des-gazoducs-sur-fond-d-illusions_6360128_3212.html (dernière consultation le 06/12/2024)
[24] SAUVAGE LAIGNEL Romane, « L’article à lire et à regarder pour comprendre les 50 ans de crise au Sahara occidental », dans L’INA éclaire l’actu, Bry-sur-Marne, Institut Nationale de l’audiovisuel, 2024, [en ligne] https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/sahara-occidental-maroc-polisario-algerie-territoire (dernière consultation le 14/01/2025)
[25] Ibid.
[26] Déclaration lors d’une interview pour la télévision française. Ibid.
[27] ES-SWEYIH Mohamed-Fadel ould Ismaïl, « Constitution de la RASD », dans La République sahraouie, 2000, [en ligne] https://www.arso.org/03-const.99.htm (dernière consultation le 14/01/2025)
[28] Ibid.
[29] Ibid.
[30] Ibid.
[31] Ibid.
[32] TF1 Actualités, « Sahara occidental : tension entre le Maroc et l’Algérie », dans L’INA éclaire l’actu, Bry-sur-Marne, Institut Nationale de l’audiovisuel, 1976, [en ligne] https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/caa7600130001/sahara-occidental-tension-entre-le-maroc-et-l-algerie (dernière consultation le 14/01/2025)
[33] REBBAH Manel Ismahane, « Conflit du Sahara occidental : pourquoi l’Algérie soutient le Front Polisario », dans The Conversation, 2024, [en ligne] https://theconversation.com/conflit-du-sahara-occidental-pourquoi-lalgerie-soutient-le-front-polisario-236706 (dernière consultation le 15/01/2024)
[34] Des accords ont été passés entre le Maroc et différents pays de la région pour leur permettre un accès à la mer au travers de l’Initiative Atlantique pour le Sahel. De manière générale, le Maroc s’est positionné en médiateur de poids dans la région, souvent au détriment de l’Algérie.
[35] Ibid.
[36] Les Amazigh, parfois appelés « berbères » en français, désigne les peuples non-arabes présents en Afrique du Nord. Depuis la décolonisation, ils ont longtemps été occultés par les régimes se définissant comme « arabes » même si leur situation tend à s’améliorer. Les berbères regroupent plusieurs peuples différents : Rifains, Chleuh, Kabyles, Touaregs, etc.
[37] « Il est ironique que le délégué de l’Algérie parle […] du Sahara marocain. L’Algérie est un exemple frappant […] d’une géométrie variable [et] refuse aux tribus kabyles le droit à l’autodétermination. […]. Les tribus amazighes vivent une oppression et une répression sans précédent [depuis 1962] ». YOUTUBE, « Question Kabyle : échanges musclés entre les représentants du Maroc et de l’Algérie à l’ONU », Kabylia Time, 2024, 18 minutes 03 secondes, à 5min25, [en ligne] https://www.youtube.com/watch?v=AHt142nv8og (dernière consultation le 15/01/2024)
[38] Ce qui n’empêche pas l’apparition d’un mouvement populaire dans le Rif en 2016-2017
[39] Déclaration de Hassan II à la télévision française. ALHADIKA, « Hassan II : le seul délit politique c’est lorsqu’on prétend que le Sahara n’est pas marocain », 2022, [en ligne] https://arabs.wmaker.tv/Hassan-II-le-seul-delit-politique-c-est-lorsqu-on-pretend-que-le-Sahara-n-est-pas-marocain_v2162.html (dernière consultation le 16/01/2025)
[40] Ana Gomes est une femme politique portugaise, ancienne députée européenne (socialiste), fortement impliquée dans les questions relatives aux droits de l’Homme.
[41] ORGANISATION DES NATIONS UNIES, « La Quatrième commission poursuit l’audition de pétitionnaires sur la question du Sahara occidental », dans Couverture des réunions et communiqués de presse, CPSD/805, 2024, [en ligne] https://press.un.org/fr/2024/cpsd805.doc.htm (dernière consultation le 16/01/2025)
[42] RFI, « Sahara occidental : les Nations unies appellent le Maroc à libérer des prisonniers sahraouis », dans RFI, Issy-les-Moulineaux, France Média Monde, 2023, [en ligne] https://www.rfi.fr/fr/afrique/20231204-sahara-occidental-les-nations-unies-appellent-le-maroc-%C3%A0-lib%C3%A9rer-des-prisonniers-sahraouis (dernière consultation le 16/01/2024)
[43] MOREL Sandrine, « L’entrée massive de migrants à Ceuta aggrave la crise diplomatique entre l’Espagne et le Maroc », dans Le Monde, Paris, Société éditrice du Monde, 2021, [en ligne] https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/05/18/l-entree-massive-de-migrants-a-ceuta-provoque-une-crise-diplomatique-entre-l-espagne-et-le-maroc_6080616_3212.html (dernière consultation le 16/01/2025)
[44] LE FIGARO AVEC AFP, « L’Algérie menace de rompre son contrat de gaz avec l’Espagne », dans Le Figaro, Paris, Société du Figaro, 2022, [en ligne] https://www.lefigaro.fr/economie/gaz-l-algerie-menace-de-rompre-son-contrat-avec-l-espagne-20220427 (dernière consultation le 16/01/2024)
[45] GALTIER Clara, « Sahara occidental : la France doit-elle craindre un arrêt des exportations de gaz algérien ? », dans Le Figaro, Paris, Société du Figaro, 2024, [en ligne] https://www.lefigaro.fr/economie/sahara-occidental-la-france-doit-elle-craindre-un-arret-des-exportations-de-gaz-algerien-20240801 (dernière consultation le 16/01/2024)
[46] DA SILVA Alexis, « Sahara occidental : ce que contient le plan du Maroc », dans L’Express, Paris, Groupe L’Express, 2024, [en ligne] https://www.lexpress.fr/monde/afrique/sahara-occidental-ce-que-contient-le-plan-du-maroc-UA3GHVHMOJHRHIO7SY5YYZXJ64/?cmp_redirect=true (dernière consultation le 20/01/2025)
[47] MINISTÈRE DE LA JEUNESSE, DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION DU ROYAUME DU MAROC, « L’initiative marocaine pour la négociation d’un statut d’autonomie de la région du Sahara », [en ligne] https://www.maroc.ma/fr/system/files/documents_actualite/initiative_marocaine.pdf (dernière consultation le 20/01/2024)
[48] Une compétence exclusive signifie que l’État central ne pourra pas interférer dans les domaines qui relèvent de ladite compétence.
[49] Et c’est ce que prévoit le point 29 du plan d’autonomie.
[50] DAOU Marc, « Sahara occidental : les accords d’Abraham, aux origines de l’escalade entre l’Algérie et le Maroc », dans France 24, Nanterre, France Média Monde, 2021, [en ligne] https://www.france24.com/fr/afrique/20211104-sahara-occidental-les-accords-d-abraham-aux-origines-de-l-escalade-entre-l-alg%C3%A9rie-et-le-maroc (dernière consultation le 21/01/2025)
[51] AHDANI Jassim, « Au Maroc, le rythme des ouvertures de consulats au Sahara occidental s’intensifie », dans Jeune Afrique, Tunis, Jeune Afrique média Group, 2024, [en ligne] https://www.jeuneafrique.com/1600694/politique/au-maroc-le-rythme-des-ouvertures-de-consulats-au-sahara-occidental-sintensifie/ (dernière consultation le 21/01/2024)
[52] C’est ce qu’évoque une question parlementaire formulée par Thierry Mariani (groupe Identité et Démocratie) en décembre 2023.
[53] JEUNE AFRIQUE, « Sahara occidental : le Polisario revendique l’attaque de Smara », dans Jeune Afrique, dans Jeune Afrique, Tunis, Jeune Afrique Media Group, 2023, [en ligne] https://www.jeuneafrique.com/1499080/politique/sahara-occidental-le-polisario-revendique-lattaque-de-smara/ (dernière consultation le 21/01/2024)
